M.Jourdain, bourgeois
entiché de noblesse, entend acquérir les manières des gens de qualité. Il
décide de commencer un nouvel habit et se lance dans l’apprentissage des armes,
de la danse, de la musique et de la philosophie. En ramenant des maîtres, qui
profitent de sa naïveté, pour prendre son argent.
Il se pique également pour courtiser
Dorimène, la Marquise ,
amenée à sa maison à la compagne de son amant, Dorante, un comte désargenté,
qui fait croire à M.Jourdain qu’il est son intermédiaire à l’égard de Dorimène.
Sa femme et sa servante, Nicole, se moquent de lui, mais par la suite, elles
s’inquiètent de le voir ainsi toqué de belles manières et tentent de le ramener
à la réalité du prochain mariage de sa fille Lucille avec Cléonte. Mais M.
Jourdain refuse ce dernier sous prétexte de ne pas être gentilhomme.
Enfin, Covillet, le valet de Cléonte,
décide de déguiser son maître en « Grand Turc », afin de l’introduire
dans la maison de M. Jourdain pour épouser Lucille. Ce qui plaît à M. Jourdain
qui a accepté ce mariage.
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